Le sujet du BDSM englobe un large éventail de pratiques, mais dans la plupart des cas, on y retrouve la notion de douleur, de contrainte et d’humiliation. Selon les préférences et les expériences individuelles, une seule de ces dimensions peut être présente, mais pour les adeptes les plus pervers, les trois peuvent être combinées.
Il est essentiel de comprendre que les pratiques BDSM peuvent varier en termes d’intensité, et qu’en plus du consentement, il est primordial de les pratiquer en toute sécurité. Par exemple, dans le bondage, il existe des risques potentiels à prendre en compte.
Beaucoup d’entre nous ont peut-être déjà reçu ou donné une petite fessée pendant un acte sexuel ! Bien que la douleur soit modérée et de courte durée, cela peut être considéré comme un petit « avant-goût » du BDSM. Une sorte de bande-annonce, pour ainsi dire. Vous commencez à voir où je veux en venir, n’est-ce pas ?
En moyenne, environ 26 % de la population se dit intéressée par le BDSM, et parmi eux, 61,4 % déclarent avoir pris conscience de leur intérêt avant l’âge de 25 ans. Ces chiffres témoignent de la diversité des pratiques et des intérêts au sein de la communauté BDSM. Chacun a sa propre façon de l’explorer et de l’apprécier, dans le respect des limites et des préférences de chacun.